Fibromyalgie, La Maladie Que Les Medecins N'arrivent Pas A Soigner
La fibromyalgie reste difficile à comprendre : douleurs diffuses, fatigue chronique, hypersensibilités… Découvrez pourquoi elle dérange autant le monde médical, et comment lui redonner du sens dans une approche globale.

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La fibromyalgie fait partie de ces syndromes qui déroutent. Autant les personnes qui en souffrent que les médecins qui les reçoivent. Entre douleurs diffuses, fatigue chronique, sommeil non réparateur et incompréhension sociale, elle s’impose dans le quotidien sans prévenir — ni laisser de traces mesurables dans les analyses classiques.
Cette réalité engendre une immense frustration. On souffre, mais on ne "voit" rien. Et parce qu’il n’y a pas de lésion apparente, on doute. On minimise. On s’épuise à chercher des réponses dans un système médical peu outillé pour ce type de cas complexes.
Les piliers du syndrome : ce que le corps exprime
La fibromyalgie ne se manifeste pas par un symptôme unique, mais par un ensemble de signes, qui varient d’une personne à l’autre, mais reviennent avec une étonnante régularité.
Douleurs diffuses, mobiles et souvent incomprises
Le symptôme le plus marquant est sans doute la douleur généralisée. Pas localisée, pas déclenchée par un effort particulier. Elle se déplace, s’intensifie, se calme, puis revient. Certains la décrivent comme un courant électrique interne, d’autres comme une tension musculaire permanente.
Ces douleurs, souvent incomprises ou minimisées, finissent par générer une forme de douleur secondaire : celle de ne pas être cru(e), d’avoir à justifier un mal invisible.
Un sommeil non réparateur qui épuise tout le système
Même avec 8 ou 9 heures de sommeil, les personnes concernées se réveillent plus fatiguées qu’en se couchant. Le corps n’entre pas dans un cycle de récupération profonde. Et c’est un cercle vicieux : plus on est fatigué, plus on a mal… plus on a mal, moins on récupère.
Cette dette de sommeil chronique impacte non seulement l’énergie physique, mais aussi l’humeur, la concentration et la capacité d’adaptation émotionnelle.
Une fatigue chronique qui dépasse le simple « manque d’énergie »
Ici, on ne parle pas d’un simple coup de mou. Il s’agit d’une fatigue de fond, persistante, systémique. Une sensation d’être constamment vidé(e) de son énergie vitale. Même après un week-end de repos, ou une journée sans activité, la fatigue reste là.
Souvent, elle empêche d’anticiper, de planifier, de se projeter. Chaque journée est une gestion à flux tendu.
Des signes souvent ignorés mais bien réels
Le fibro-brouillard : un ralentissement cognitif injustement banalisé
Derrière ce terme étrange se cache une réalité bien connue des personnes fibromyalgiques : des trous de mémoire fréquents, des difficultés à se concentrer, l’impression d’avoir la tête dans du coton.
Ce brouillard mental accentue le sentiment de décalage : on sait ce qu’on veut dire ou faire, mais l’esprit ne suit plus. Cela peut être déstabilisant… et mal interprété par l’entourage.
➡️ Lire aussi : Qu’est-ce que le fibro-brouillard ?
Hypersensibilités : un système en alerte permanente
Nombreuses sont les personnes qui décrivent une sensibilité exacerbée au bruit, à la lumière, aux odeurs, à la pression sociale. Le système nerveux semble en état d’alerte permanent, ce qui contribue à la surcharge émotionnelle et physique.
Des réactions disproportionnées, des larmes incontrôlées, une tension interne constante… Autant de signaux souvent mal interprétés comme de la fragilité, alors qu’ils révèlent un organisme saturé.
Pourquoi les médecins sont souvent démunis face à ce syndrome
Les médecins ne sont pas insensibles. Mais ils manquent souvent d’outils adaptés.
La médecine conventionnelle repose largement sur :
- des données objectivables (prise de sang, IRM, tests biologiques),
- des causes identifiables,
- des protocoles reproductibles.
Or, la fibromyalgie ne rentre pas dans ces cases. Pas de lésion, pas d’anomalie structurale claire, pas de protocole universel. Elle devient donc difficile à "classer", à encadrer, à prendre en charge.
Et cela, pour la personne qui vit ces symptômes au quotidien, peut devenir une seconde épreuve : ne pas être prise au sérieux.
Une approche complémentaire : observer ce que le corps essaie de dire
Chez EPIGENISE, nous ne prétendons pas "résoudre" la fibromyalgie. Mais nous partons d’un postulat simple : si le corps s’exprime ainsi, c’est qu’il y a quelque chose à entendre.
Nous explorons :
- le fonctionnement des émonctoires (les voies naturelles d’élimination),
- le rôle du microbiote intestinal dans les processus inflammatoires et nerveux,
- les surcharges émotionnelles ou environnementales,
- le lien entre alimentation, terrain et vitalité.
Notre démarche ne remplace pas la médecine, elle la complète en apportant un éclairage global sur les déséquilibres profonds qui peuvent amplifier ce que la médecine nomme fibromyalgie.
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