La Fibromyalgie, Est-Ce Un Diagnostic Par Defaut ?
Diagnostiquer la fibromyalgie n'est ni simple ni un diagnostic par défaut. Cela prend souvent des années sans signes biomédicaux clairs. La fibromyalgie, complexe et mal reconnue, n'est pas une fatalité. Un accompagnement ciblé peut soulager les symptômes en 5 à 6 mois.
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Bonjour les fibromyalgiques !
Je m’appelle Maxime Herné, fondateur du cabinet EPIGENISE, j'accompagne des personnes atteintes de la fibromyalgie. Aujourd’hui, je vais répondre à une question qui m’a été envoyée au secrétariat. La question posée est : “Est-ce que la fibromyalgie est un diagnostic par défaut ?” Alors, c’est parti !
Tout d’abord, un grand merci à Maryse qui m’a envoyé cette question. Tout le monde peut m’envoyer des questions sur les différents aspects de la fibromyalgie, et l’objectif de cette chaîne est de répondre à toutes vos interrogations sur cette maladie.
Aujourd’hui, nous allons aborder la question de savoir si la fibromyalgie est un diagnostic par défaut. C’est une question très importante à laquelle je n’ai pas encore répondu sur cette chaîne. Prenez donc quelques minutes pour essayer d’apporter ma compréhension de la maladie, plus particulièrement en ce qui concerne le diagnostic par défaut.
Tout d’abord, il est essentiel de comprendre que je vais donner mon avis, et je ne crois pas du tout que la fibromyalgie soit un diagnostic par défaut. Je vais argumenter dans cet épisode. La fibromyalgie est une maladie extrêmement compliquée à diagnostiquer pour la médecine conventionnelle.
Je n’ai ni le droit ni même l’envie de poser des diagnostics, car cela n’a aucun intérêt pour moi. La médecine conventionnelle a besoin de poser un diagnostic pour établir un protocole spécifique. Ce qui m’intéresse, c’est de comprendre les symptômes du corps, d’essayer de comprendre pourquoi ils se manifestent, et d’accompagner la personne pour qu’elle cesse de les ressentir.
Le diagnostic en médecine conventionnelle consiste à additionner plusieurs symptômes pour donner le nom d’une maladie. Pour la médecine conventionnelle, réussir à diagnostiquer est crucial, car cela permet de mettre en place un protocole, que ce soit un médicament chimique de synthèse, une opération chirurgicale ou l’utilisation de radiations.
Pour poser un diagnostic en médecine conventionnelle, il faut trouver des signes biomédicaux concrets, des choses que l’on peut observer, comme une inflammation à un endroit précis, la présence d’un microbe ou d’un virus. Cela se fait à l’aide d’appareils, d’analyses de sang, de scanners et d’auscultations.
Il est donc essentiel pour la médecine conventionnelle de trouver des signes biomédicaux pour confirmer la maladie. Cela se fait lors de consultations où le médecin examine la personne, vérifie les symptômes, et utilise divers outils pour confirmer le diagnostic, comme l’inflammation de la gorge.
Donc, il a besoin de quelque chose, comme une inflammation et des signes biomédicaux pour confirmer que la personne est vraiment malade. Donc, ça, j’ai grossi le trait, mais c’est exactement comme ça que l’on pose un diagnostic en médecine conventionnelle. Donc, ils vont devoir, pour certains malades, il faut faire des prises de sang. On va voir la présence, par exemple, pour les allergies, la présence d’anticorps dans le corps, qui va dire : “Ah, ça, c’est le signe biomédical pour dire que la personne est bien allergique à un tel allergène.” Donc, il y a toujours besoin de quelque chose, d’une inflammation à la présence d’un signe biomédical, de plusieurs signes biomédicaux pour permettre de confirmer ce que la personne dit au médecin.
Le problème, c’est que la fibromyalgie, dans l’état actuel des choses, il n’y a pas de signe médical. C’est-à-dire que dans la fibromyalgie, on ne trouve aucune inflammation, on ne trouve, enfin, rien qui fait qu’on peut confirmer ou infirmer le fait que la fibromyalgie est présente chez cette personne. Et ça, ça pose un énorme problème à la médecine conventionnelle, puisque on voit bien qu’il y a énormément de personnes qui disent souffrir des trois symptômes de la fibromyalgie, c’est-à-dire une douleur diffuse, une fatigue chronique et un sommeil qui n’est pas réparateur. Donc, ça fait 2 à 5% de la population qui dit souffrir de ces symptômes-là. Donc, ça fait quand même énormément de personnes pour une maladie qui est extrêmement handicapante.
Mais le problème, c’est que cette maladie ne rentre pas dans les cases de la médecine conventionnelle. Donc, quand une personne est fibromyalgique, elle va chez son médecin, elle dit : “Voilà, j’ai des douleurs diffuses. À un moment, j’ai mal dans le dos, à un moment, c’est à la jambe droite, ensuite chez le bras gauche.” Et ça, ça peut changer toutes les cinq minutes. Donc, déjà, dit ça, après, j’ai dit : “Je suis fatigué tout le temps. Je me réveille, j’ai l’impression d’être autant fatigué que la veille.” Donc, fatigue chronique, sommeil pas réparateur. Donc, il y a beaucoup de personnes qui arrivent et qui est donc le médecin est là et il essaie de trouver des signes biomédicaux. C’est pour ça que le parcours pour réussir à diagnostiquer la fibromyalgie est souvent extrêmement compliqué et prend des années.
Maintenant, ça s’améliore. Il y a des gens qui, en quelques mois maintenant, peuvent réussir à être diagnostiqués fibromyalgiques. Mais c’est vrai qu’encore, encore maintenant, moi, j’ai beaucoup de personnes qui viennent à mon cabinet, ça prend deux, trois ans encore pour poser le diagnostic de la fibromyalgie. Quand on a posé le diagnostic de la fibromyalgie, ça ne va rien changer, c’est-à-dire que déjà on est content parce qu’on sait ce qu’on a, mais ça ne va pas régler notre maladie, puisque la médecine conventionnelle n’a aucun moyen pour réussir à se débarrasser de cette maladie. Donc, parcours du combattant pour réussir à diagnostiquer cette maladie, puisqu’on ne voit rien et puisque la médecine conventionnelle a besoin de voir des signes biomédicaux. Donc, c’est très compliqué.
Comment ils font pour diagnostiquer la fibromyalgie ? ils vont diagnostiquer la fibromyalgie par élimination. Ça veut dire qu’ils ne vont jamais diagnostiquer la fibromyalgie parce qu’ils ne voieent rien, encore une fois, mais ils vont faire toutes les analyses des autres maladies qui pourraient répondre à ses caractéristiques. Puisque à chaque fois, on ne voit pas le signe biomédical pour la maladie qui pourrait être qui pourra répondre à ses symptômes et chaque fois les maladies possibles, puisque les signes biomédicaux ne sont pas là, et à la fin, puisqu’on n’a pas trouvé la maladie et que la personne dit qu’elle souffre encore des symptômes de la fibromyalgie, à ce moment-là, on diagnostique la fibromyalgie.
Donc, on voit bien que c’est un diagnostic extrêmement long et compliqué. Je ne crois pas que ce soit un diagnostic par défaut, car les diagnostics par défaut concerneraient des maladies bien définies, diagnostiquées plus facilement aujourd’hui. C’est un véritable parcours du combattant pour parvenir à affirmer qu’on est atteint de fibromyalgie. De nombreuses personnes, même après avoir consulté de nombreux médecins conventionnés, ne sont pas diagnostiquées fibromyalgiques. Je ne pense pas que cela soit dû à un diagnostic par défaut, car il y a plusieurs raisons à cela. De plus, il faut comprendre que, selon la médecine conventionnelle, la fibromyalgie n’est pas considérée comme une maladie, mais plutôt comme un syndrome.
La différence entre un syndrome et une maladie réside dans le fait que, lorsqu’une personne se présente chez un médecin conventionnel en mentionnant des douleurs, de la fatigue et un sommeil non réparateur, la personne décrit plusieurs symptômes. Même si la personne n’a pas encore été diagnostiquée, l’ensemble de ces symptômes constitue un syndrome. Pour que ce syndrome soit reconnu comme une maladie par la médecine conventionnelle, le médecin doit trouver des signes biomédicaux. Si aucun signe n’est trouvé, le médecin ne peut pas confirmer la maladie ni poser le diagnostic. Ainsi, la fibromyalgie reste au stade de syndrome selon la médecine conventionnelle.
Pour moi, la fibromyalgie est une maladie, car dès qu’une personne mentionne qu’elle souffre de quelque chose, je considère qu’elle est malade, sans nécessité de signes biomédicaux physiques. Même si la fibromyalgie ne rentre pas dans les critères de la médecine conventionnelle, je ne fais pas de distinction entre syndrome et maladie lorsque quelqu’un souffre. Cette divergence entre la reconnaissance des signes médicaux crée une dissociation : d’un côté, c’est une maladie, de l’autre, c’est un syndrome.
Ainsi, la médecine conventionnelle considère la fibromyalgie comme un syndrome, ce qui explique son manque de reconnaissance. La MDPH ne la reconnaît pas vraiment, et les personnes atteintes ne sont pas reconnues comme véritablement handicapées. C’est un véritable parcours du combattant pour obtenir cette reconnaissance. Bien sûr, il y a des exceptions, mais la grande majorité des personnes atteintes de fibromyalgie ne sont pas reconnues comme handicapées.
Il est important de comprendre qu’aujourd’hui, les gens consultent des médecins conventionnels, mais peu d’entre eux connaissent réellement la fibromyalgie. Cela s’explique par le fait que cette maladie n’est pas reconnue par des signes biomédicaux, ce qui complique le diagnostic pour eux. La fibromyalgie est donc très peu acceptée par la médecine conventionnelle, et il existe des médecins sceptiques, qui affirment que cette maladie n’existe pas réellement. En conséquence, ces médecins ne posent jamais le diagnostic de la fibromyalgie, ce qui complique la vie de nombreuses personnes cherchant à être diagnostiquées.
Et voilà, ce que je voulais dire, c’est que le diagnostic est compliqué. Donc, c’est un diagnostic qui est quand même difficile à établir. Je ne crois pas que ce soit un diagnostic par défaut, car lorsque l’on est diagnostiqué fibromyalgique, on a passé des étapes qui ont été compliquées et qui ont demandé du temps et de l’énergie. Même une fois le diagnostic posé, cela ne résout pas nécessairement nos problèmes. Ce que j’ai observé, c’est que toutes les personnes qui viennent à mon cabinet et se déclarent fibromyalgiques ont généralement subi de nombreuses analyses et ont travaillé énormément pour parvenir à poser le diagnostic.
Il faut également comprendre que la fibromyalgie présente des caractéristiques bien spécifiques. Les douleurs diffuses sont un point essentiel, avec des douleurs particulières qui peuvent se déplacer dans tout le corps en quelques minutes. Ces douleurs peuvent changer, passant d’une épaule à une jambe, puis à la région lombaire. C’est une particularité bien spécifique, différente d’une tendinite qui concerne un seul endroit pendant un certain temps. Les douleurs fibromyalgiques sont présentes quotidiennement, plus ou moins intenses, et se manifestent à différents endroits tout au long de la journée.
En plus de cela, il y a une fatigue chronique. Les personnes atteintes de fibromyalgie sont constamment fatiguées, épuisées, et cette fatigue persiste dans le temps. C’est une caractéristique extrêmement spécifique. Enfin, il y a une troisième caractéristique propre à la fibromyalgie, à savoir un sommeil non réparateur. Les personnes fibromyalgiques se réveillent souvent fatiguées, sans avoir l’impression d’avoir bénéficié d’une nuit réparatrice. Ces trois caractéristiques et symptômes spécifiques rendent le diagnostic assez complexe, car il faut répondre à ces trois critères pour être considéré comme fibromyalgique.
En outre, la fibromyalgie, bien que déjà handicapante et douloureuse, s’accompagne de nombreux autres symptômes secondaires. Ces symptômes sont souvent des signaux que le corps envoie pour indiquer qu’il est à bout et qu’un changement est nécessaire, car il est surchargé en toxines. Les personnes fibromyalgiques présentent également de nombreux symptômes secondaires, dont le brouillard cérébral, une sensation de confusion mentale, des difficultés à se concentrer pendant les discussions, des problèmes de mémoire ou des trous de mémoire occasionnels. C’est une réalité pour de nombreuses personnes fibromyalgiques, souvent associée à des interventions telles que l’ablation des végétations ou des amygdales.
Bon, je ne vais pas rentrer dans les détails du pourquoi, etc., mais souvent, dans ce cas-là, la majorité des gens qui souffrent de fibromyalgie ont un brouillard cérébral très important. En les coachant pour se débarrasser de leurs symptômes, ce qui se passe très souvent, c’est que ces personnes ont subi l’ablation de leur végétation et de leurs amygdales. C’est pourquoi la détoxination au niveau de la boîte crânienne est beaucoup plus compliquée, et c’est pourquoi elles sont souvent plus dans le brouillard. Cela ne signifie pas qu’elles ne peuvent pas s’en débarrasser. En réalité, si elles y parviennent, cela prend simplement plus de temps, car elles n’ont plus les organes nécessaires pour éliminer les toxines efficacement.
Ensuite, lorsqu’on est confronté à la fibromyalgie, on peut présenter tous les symptômes possibles et imaginables. Cependant, cela n’est pas spécifique à la fibromyalgie, mais plutôt lié au terrain et au contexte de chaque personne. Le corps, étant surchargé, peut réagir de manière variée, entraînant des migraines, des règles douloureuses, des difficultés de concentration, de l’irritabilité, des problèmes de mémoire, des troubles gastro-intestinaux tels que constipation, diarrhée, syndrome du côlon irritable, des dysfonctionnements de la respiration, des picotements, des sensibilités cutanées, et bien d’autres symptômes. Ces symptômes secondaires sont associés à la fibromyalgie, mais les symptômes principaux restent les douleurs diffuses, la fatigue chronique et le sommeil non réparateur.
Pour moi, il ne s’agit pas du tout d’un diagnostic par défaut, car le diagnostic de la fibromyalgie est déjà complexe et prend beaucoup de temps. Les médecins ne sont pas toujours favorables à reconnaître la fibromyalgie, ce qui montre qu’il y a encore beaucoup à comprendre sur cette maladie, et ils peinent à expliquer son mécanisme. Donc, il est compliqué pour eux de la considérer comme une maladie et non comme un syndrome.
De plus, à chaque fois que j’accompagne une personne diagnostiquée fibromyalgique ou répondant aux critères de la fibromyalgie, elle réussit à se débarrasser de ses symptômes grâce à un programme personnalisé. Cela signifie que mon accompagnement n’est pas aléatoire, car les personnes qui présentent ces symptômes répondent positivement aux interventions ciblées sur la cause sous-jacente de la maladie, plutôt que simplement travailler sur les symptômes. Il n’y a donc pas de risque de confondre des personnes non fibromyalgiques, car le succès de l’accompagnement est vérifiable à chaque fois.
En comparaison, avant de me concentrer sur la fibromyalgie, mon cabinet était axé sur une autre maladie, à savoir les allergies. J’ai constaté que les allergies étaient parfois diagnostiquées par défaut pour de nombreuses maladies. Par exemple, des réactions corporelles comme des diarrhées suite à la consommation d’aliments étaient parfois attribuées à des allergies, bien que les tests d’anticorps ne le confirment pas. Ces personnes présentaient en réalité une inflammation de la muqueuse intestinale, et en travaillant sur cette inflammation plutôt que l’allergie présumée, les symptômes étaient résolus. Cela montre que le diagnostic par défaut est plus fréquent dans le cas des allergies que de la fibromyalgie.
Beaucoup de personnes sont diagnostiquées avec des allergies respiratoires alors qu’en fait, elles ne sont pas du tout allergiques. Elles n’ont pas du tout d’anticorps contre l’épaule et les poils d’animaux, etc., quand elles font des analyses. Et pourtant, elles réagissent. Et pourquoi ? Parce qu’en fait, c’est simplement qu’elles sont complètement surchargées au niveau des toxines. Et donc, si on veut réussir à accompagner ces personnes, il ne faut pas travailler sur les allergies, puisque ça n’aura aucun impact. Il faut travailler au niveau auquel il faut drainer, il faut nettoyer les toxines au niveau de la tête parce qu’on est complètement surchargé au niveau des cellules tendineuses et musculaires. On a commencé à vraiment récupérer, on va dire, enfin, on agresse les toxines et au niveau de l’élimination, elle appuie, ce qui se passe comme par miracle. La personne n’a plus les réactions qu’elle avait avec le pollen et les poils d’animaux, etc.
Donc, la fibromyalgie pour moi, ce n’est pas du tout un diagnostic par défaut. Par contre, il y a d’autres maladies, et j’ai pu le vérifier avec les allergies, par exemple, qui elles peuvent être très facilement un diagnostic par défaut. Maintenant, ce qu’il faut comprendre, c’est que, il est complètement possible de se débarrasser de sa fibromyalgie, et c’est l’objectif justement de cabinet que j’ai créé EPIGENISE. Mon objectif, c’est de montrer qu’on peut y arriver quand on s’occupe de la cause du problème. Le problème dans tout ça, c’est qu’aujourd’hui, personne ne s’attaque réellement à la cause du problème, parce que déjà personne ne comprend réellement ce malaise.
Donc moi, j’ai accompagné pendant très longtemps quand même des personnes fibromyalgiques. Je me suis fait ma compréhension de cette maladie grâce à l’expérimentation et au travail avec les personnes qui sont venues consulter. Et aujourd’hui, je suis arrivé à un stade où on a un taux de résultat de 90% avec le programme. Ça prend entre cinq et six mois à toutes les personnes qui viennent nous consulter pour vérifier qu’ils peuvent se débarrasser de leurs maux. Alors, il n’y a pas de pilule magique, il faut travailler sur la cause du problème. Ce n’est pas un médicament miracle, une pilule magique à prendre tous les matins. C’est une hygiène de vie à mettre en place entre cinq et six mois pour vérifier qu’on peut se débarrasser de ses maux. Après, cette hygiène de vie n’est pas à suivre toute sa vie. Il y a quelques règles qu’il faudra suivre, mais pendant ces cinq à six mois, on a vérifié qu’on peut rééquilibrer le corps. Et quand on rééquilibre le corps, qu’on élimine des toxines, ce qui se passe, il arrête de faire des symptômes pour rien.
Ce qu’il faut comprendre aussi, c’est que la fibromyalgie, n’est pas un dysfonctionnement du corps, c’est-à-dire que les personnes fibromyalgiques répondent à des critères. Elles sont dans un terrain actuellement qui fait qu’elles développent des symptômes de la fibromyalgie. Mais si on modifie, soutient, on peut vérifier qu’on n’a plus ces symptômes de la fibromyalgie. Donc, ce n’est pas un dysfonctionnement du corps, ce n’est pas la maladie qui nous tombe dessus. C’est que, aujourd’hui, on n’a pas compris comment fonctionnait réellement la santé. On croit que c’est en camouflant les symptômes qu’on va réussir à s'en sortir. Ça ne fonctionne pas comme ça. La santé, il y a toutes les maladies ont une raison physiologique, et la fibromyalgie, c’est exactement la même chose.
Pour réussir à vérifier qu’on peut se débarrasser de ses maux, il faut travailler sur les causes de la fibromyalgie. J’ai déjà fait plein d’épisodes là-dessus, donc je vous invite à aller voir ces épisodes si ça vous intéresse. Mais il faut réussir à drainer, drainer les toxines qui se trouvent au niveau des cellules tendineuses et cellules musculaires pour arrêter de souffrir. Donc, dans une de ces douleurs diffuses, etc., il faut chouchouter sa muqueuse intestinale, parce qu’aujourd’hui, des intestins campent et retiennent beaucoup trop de déchets alimentaires qui rentrent à l’intérieur du corps. Et ensuite, il faut refaire fonctionner les émonctoires, donc les portes de sortie des déchets du corps. Parce qu’aujourd’hui, les personnes physiques, c’est un peu comme un bocal fermé, mais les toxines ne sortent pas vraiment. Donc, on voit bien la peau qui doit sortir des toxines avec la transpiration ou avec le sébum, mais elle est très sèche. Elle ne fonctionne plus comme elle devrait.
Les poumons sont une porte de sortie aussi avec l’air, les reins sont une porte de sortie avec les urines, et les selles sont une porte, les intestins sont une porte de sortie avec les selles. Tout ça, aujourd’hui, quand les fibres indiquent les émonctoires ne fonctionne pas assez pour justement éliminer la quantité de déchets qui seront un terrain du corps. Et donc, c’est tout le travail que je fais au quotidien avec les personnes qui viennent à mon cabinet, c’est de travailler sur tous ces points pour réussir à vérifier qu’on peut se débarrasser de ses maux en cinq à six mois. Et on commence à voir, au bout d’un mois du programme, un mois et demi, un mois, un mois et demi, ça dépend des personnes, que commence à avoir beaucoup plus d’énergie, on a moins de douleur, et on commence à avoir un sommeil qui est meilleur. Ça prend un mois, un mois et demi, et après, petit à petit, on voit que bah, tout ça s’améliore aussi au fur et à mesure. Et après cinq à six mois, voilà. Donc, j’espère avoir bien répondu à la question.
Maintenant, je vais mettre un lien dans la description de l’épisode pour permettre d’avoir accès à du contenu gratuit pour commencer à comprendre votre fibromyalgie gratuitement. Si cela vous intéresse, cliquez sur le lien dans la description, et vous obtiendrez tout cela gratuitement. Je vous souhaite une très bonne journée les fibromyalgiques. Je vous dis à très bientôt et bye.