Fibromyalgie : Comprendre La Difference Entre Cause Et Declencheur

Il est essentiel de distinguer la cause réelle des déclencheurs de la fibromyalgie. Le terrain sous-jacent, comme l'encrassement cellulaire et les émonctoires défaillants, est la vraie cause. Travailler dessus peut éliminer les symptômes en 5-6 mois.

Fibromyalgie : Comprendre La Difference Entre Cause Et Declencheur

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“Depuis cet accident, je ne suis plus comme avant.”
“C’est après ce burn-out que tout a commencé.”
“C’est à partir de cette opération que la fatigue s’est installée.”

Ces phrases, tu les entends souvent si tu écoutes les personnes atteintes de fibromyalgie. Et en apparence, tout semble commencer à un moment précis. Mais ce point de bascule visible n’est pas forcément la véritable cause du déséquilibre.


Ce qu’on appelle déclencheur

Un accident. Une maladie. Une séparation. Un accouchement difficile. Une chute. Une surcharge professionnelle. Ces événements marquent un avant/après. Et pour beaucoup, c’est à ce moment que les douleurs sont apparues, ou que le corps a changé.

Ce choc initial devient alors le point de repère. Celui à partir duquel tout est réinterprété. “Avant, j’étais bien. Depuis, je ne m’en sors plus.”

Et c’est logique : le cerveau cherche une explication rationnelle à ce que le corps vit. Il cherche une cause claire, un déclencheur évident. Mais cette lecture linéaire n’explique pas tout.

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Un terrain déjà fragilisé ?

Ce que beaucoup oublient, c’est qu’avant ce déclencheur, le corps était peut-être déjà surchargé. Peut-être qu’il compensait depuis longtemps. Peut-être qu’il envoyait déjà des signaux : troubles digestifs, sommeil instable, tensions récurrentes, stress chronique.

Mais tant qu’il “tenait”, on n’y prêtait pas attention.

Le choc n’est alors pas la cause. Il est l’élément de trop, celui qui fait céder le barrage. Le corps n’a pas changé en un jour. Il s’est défendu, il a résisté, puis il a lâché.

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Sortir du piège du “c’était à cause de…”

Quand on croit que “tout vient de là”, on se fige. On reste accroché à cet événement, en boucle. On cherche à le réparer, à l’effacer, à revenir “comme avant”.

Mais si l’origine est plus profonde, chercher à effacer le déclencheur ne suffit pas. Il faut regarder plus largement : hygiène de vie, rythmes, tensions accumulées, surcharge mentale, digestion, nervosité…

On ne guérit pas en revenant dans le passé. On avance en agissant sur le présent.

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Ce que cela change concrètement

Lorsqu’on comprend cette nuance, on passe d’une posture de victime du passé, à une posture d’acteur du présent.

On ne nie pas l’événement déclencheur. On le reconnaît. Mais on accepte que le terrain mérite d’être soutenu, allégé, équilibré.

Et là, les choses bougent. Non pas parce qu’on a trouvé “LA cause”, mais parce qu’on arrête d’attendre une solution extérieure. On commence à écouter ce que le corps vit aujourd’hui, ici, maintenant.

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