Comment arreter d'avoir des douleurs : Fibromyalgie

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Retranscription écrite de la vidéo :

Imaginez une journée sans douleur. Cela vous semble complètement impossible avec la fibromyalgie, n'est-ce pas ? Eh bien, détrompez-vous. On va parler d'un changement radical, d'une voie pour stopper ces douleurs qui vous entravent au quotidien. Je vais vous révéler une perspective différente et des stratégies pour dire adieu aux douleurs de la fibromyalgie. Donc, restez avec moi parce que ce que vous allez apprendre le tournant que vous attendiez. Mais attention, vous allez devoir changer votre vision de la santé et votre approche face à la maladie.

Comment arrêter d'avoir des douleurs quand on souffre de fibromyalgie ? Alors déjà, quand on se pose cette question, il faut comprendre ce qu’est la fibromyalgie, où est-ce qu'elle se trouve dans le panorama des maladies qu'on peut avoir.

D'abord, ce qu'il faut comprendre, c'est qu'il y a trois types de maladies qui existent. Il y a ce qu'on appelle les maladies aiguës, les maladies chroniques et les maladies dégénératives.

Les maladies aiguës, qu'est-ce que c'est ? C'est tout ce qui va être rhume, fièvre, diarrhée. Ce sont des courtes maladies qui vont durer entre une journée et trois jours, où le corps va faire une réaction, cela va être passager et après, cela va passer et c'est ok. Les maladies aiguës, c'est toujours une réaction centripète du corps. C'est-à-dire que ce sont des toxines qui sortent du corps. Dans le cas classique, je fais de la fièvre, mon corps transpire, donc on voit bien qu'il y a des déchets qui sortent par la peau. J'ai une diarrhée, on voit bien que le corps balance de l'eau dans les intestins pour que des choses s'éliminent au niveau des intestins. J'ai le nez qui coule, on voit bien qu'il y a du mucus qui sort.

Donc, dans les maladies aiguës, ce sont toujours des maladies centripètes, à différence de centrifuge qui vont à l'intérieur. Centripète, cela va à l'extérieur. En naturopathie, on considère cela comme des crises curatives . C'est le corps qui a besoin d'éliminer des toxines, qui va prendre l'occasion d'une bactérie, d'un virus, enfin de quelque chose qui va faire éliminer ce qui est en trop dans le corps. Très souvent, après avoir fait cette maladie aiguë sur une courte période, on se sent beaucoup mieux parce que quand le corps s'est nettoyé, on se sent mieux. Si on prend la vision de la médecine conventionnée, de toute façon dès qu'il y a symptômes en médecine conventionnée, ce n’est pas bon. Donc, à chaque fois, ils vont contre le corps. J'ai de la diarrhée, j'arrête la diarrhée, je fais de la fièvre, j'arrête la fièvre, j’ai le nez qui coule, j'arrête le nez qui coule. C'est la vision de la médecine conventionnée. Mon travail, c'est surtout quand le corps fait des maladies aiguës, on laisse éliminer les déchets, puisque cela va faire sur courte période, le corps va se nettoyer.

Ensuite, on a ce qu'on appelle les maladies chroniques. Les maladies chroniques, c'est le corps qui essaie de faire son travail. Il n'arrive pas à être aussi puissant. Il essaie de faire son travail au quotidien, mais il n’y arrive pas. Qu'est-ce qui se passe ? On rentre dans une chronicité de la maladie et tous les jours, on a notre maladie. On voit que le corps essaie de faire quelque chose, mais il n'y arrive pas, comme dans la maladie aiguë où il arrive à faire une diarrhée et après c'est terminé au bout d'une journée. Cela montre qu'il n'arrive plus à se battre. Quand on parle de fibromyalgie, où est-ce qu'on est ? on n'est pas sur une maladie aiguë. On n'est pas sur une petite maladie centripète qui va durer quelques jours. On n'est pas non plus sur une maladie dégénérative parce qu'on ne peut pas mourir de fibromyalgie. On peut souffrir beaucoup, mais on ne va pas mourir de fibromyalgie. Par contre, on est sur une maladie chronique.

Si on veut s'en sortir, si on ne veut plus avoir de douleur, soit vous faites du symptomatique, on va s'occuper des symptômes. L'idée de cela, quand on fait du symptomatique, c'est de dire que la maladie tombe du ciel, il n'y a rien à faire. En faisant du symptomatique, je vais soulager mes douleurs et peut-être ne plus souffrir. On va prendre des médicaments qui vont essayer de camoufler les symptômes sous le tapis et si cela marche, on est content. Le problème, c'est que dans le cas de la fibromyalgie, il n'y a pas de médicament, pour la très grande majorité des gens, il n'y a pas de médicament qui réussit à camoufler assez bien, de réduire assez bien les symptômes de la fibromyalgie, les douleurs, la fatigue chronique, le sommeil non réparateur. C'est une stratégie qui, dans le cas de la fibromyalgie, est vouée à l'échec.

Deuxième façon de voir, quand on est face à une maladie chronique, qui est la mienne, c'est de dire que s'il y a chronicité de la maladie, obligatoirement, cette maladie a des causes. Si on veut s'en sortir, il va falloir qu'on connaisse ses causes, pour pouvoir viser juste, pour s'occuper de ses causes et pour pouvoir voir que le corps change des dynamiques petit à petit. Quand il y a maladie chronique, celle-ci ne tombe pas du ciel. Elle a des causes. C'est un signal d'alarme que le corps envoie et nous, qu'est-ce qu'on fait ? Très souvent dans notre système de santé, le signal d'alarme est là, mais on n'en fait rien. On se dit que cela ne veut rien dire, on rentre dans un cercle vicieux. C'est pour cela que, très souvent, dans la fibromyalgie, avant de souffrir de fibromyalgie, on a eu des petits signaux d'alarme. On a eu des petites douleurs, des capsulites, des bursites, arthrite. Il y a eu de l'inflammation, il y a eu des douleurs, avant qu'on n'ait pas écouté, on a continué sa vie. À un moment, déclencheur ou pas, la fibromyalgie est arrivée.

Actuellement, 99 % des personnes qui souffrent de fibromyalgie font du symptomatique, parce que le système de santé est comme cela. La médecine conventionnée, qui représente 99 % de notre système de santé actuel, ne fait que du symptomatique avec des médicaments chimiques de synthèse, avec des radiations, avec de la chirurgie. Il y a cette vision qui est très ancrée dans notre façon d'approcher notre maladie. Deuxième raison, c'est qu'il n'y a personne qui comprend cette maladie. S'il n'y a personne qui comprend cette maladie en médecine conventionnée ou en thérapie de médecine douce, obligatoirement, on va être très mal accompagné. On ne va jamais viser juste, au mieux, on a des résultats très mitigés.

Ensuite, vous allez voir des professionelles paramédicales, faire des cures thermales, kiné, ostéo. C'est du symptomatique aussi. Ce n’est pas cela qui s'occupe de toutes les causes de la fibromyalgie de la même façon. Très souvent, on va voir des thérapeutes de médecine douce, sophrologie, acupuncture, etc. Je n’ai rien du tout contre faire du symptomatique, parce que je crois que cela ne sert à rien de souffrir pour rien. Donc, s'il y a des médicaments qui nous aident à court terme à sortir la tête de l'eau, à avoir moins de douleur, à pouvoir être un peu plus en mouvement, à pouvoir mieux dormir, je n’ai vraiment rien contre, mais si on ne s'occupe pas des causes, si on continue à avoir une stratégie sur le court terme, obligatoiremen, on ne s'en sortira jamais. Ce n'est pas du tout ce que je souhaite aux personnes qui souffrent d'une maladie aussi compliquée que la fibromyalgie.

Pour s'occuper des causes, il faut les connaître d'abord. Il y a une première cause qui a un aspect en lien avec la physiologie du corps. Il y a une muqueuse intestinale qui est poreuse, qui fait que le corps s'encrasse à vitesse grand V avec des toxines qu'on appelle des cristaux. On a ce qu'on appelle des émonctoires (des voies d'élimination naturelle du corps) qui ne fonctionnent pas aussi bien qu'en vrai, par exemple au niveau des intestins, des reins, de la peau,... ce qui fait que le corps se surcharge à vitesse grand V et il élimine très peu. À un moment, le corps doit stocker les toxines à un endroit et dans le cas de la fibromyalgie, il va les mettre au niveau des tendons et des muscles. C'est pour l'aspect physiologique.

Deuxième cause qui explique le terrain de la fibromyalgie, c'est le tempérament des personnes qui souffrent de fibromyalgie. Il y a un tempérament qui est associé, dont j'appelle le tempérament “bulldozer”. C'est de fonctionner au mental, vouloir beaucoup aider les autres, ne pas trop s'écouter, être plutôt exigeant, y aller à fond tout le temps, etc. Sur l'aspect émotionnel, on est souvent hypersensible, souvent éponge émotionnelle.

Quand on a compris ces causes-là, ce n’est pas parce qu'on les connaît les causes qu'on sait ce qu'il faut faire, ce qu'il faut mettre en place pour s'en sortir. C'est pour cela que dans ma conférence aussi, je rentre sur le détail sur justement comment on fait pour s'occuper des causes des trois causes de la fibromyalgie.

Il y a cinq piliers pour cela. Premier pilier qui est important, c'est de s'occuper de la muqueuse intestinale. Elle est poreuse, il y a trop de déchets qui rentrent à l'intérieur du corps à cause de cette porosité. Il faut chouchouter cette muqueuse intestinale.

Deuxième élément, il va falloir adopter une alimentation peu encrassant en cristaux parce que c'est cela qui nous surcharge dans la fibromyalgie.

Troisième pilier qu'il faut mettre en place, c'est détoxiner. On sait que dans la fibromyalgie, les toxines sont au niveau des cellules, des tendons et des muscles. Donc, si on veut réussir à les faire sortir du corps, il va falloir faire remonter ces toxines pour que cela arrive au niveau du sang.

Quand elles sont arrivées au niveau du sang, le 4ème pilier qui est hyper important à mettre en place pour s'occuper des causes et bien, c'est aussi réactiver les émonctoires. Donc, réactiver les voies d'élimination naturelles du corps, les intestins qui éliminent mieux, les reins avec l'urine, la peau avec la transpiration et tous les autres émonctoires dont je parle aussi dans la conférence.

Le 5ᵉ pilier, c'est la relaxation, le lâcher prise au niveau du mental parce que quand on est fibromyalgique, souvent, on a le petit vélo à fond dans la tête qui fonctionne à fond. Oon dépense beaucoup d'énergie au niveau du mental, énergie qu’on n’a pas puisqu'on a peu de vitalité. Donc, l'objectif, c'est aussi de dépenser moins d'énergie au niveau du mental pour que cette énergie soit dirigée vers toutes les fonctions physiologiques qu'on cherche à réactiver.

Tout cela ne se passe pas avec une pilule magique. Il n'y a pas de pilule magique contre la fibromyalgie et je pense qu'il n'en existera jamais. En tout cas, si on veut vraiment s'en sortir sur le long terme, obligatoirement, il va falloir s'occuper de ses causes, s'occuper des cinq piliers. Il faut mettre en place une hygiène de vie qui va être en relation avec une alimentation, une relaxation, un peu de mouvement pour faire circuler le liquide, des outils secondaires à l'hygiène de vie parce que si on ne fait que de l'hygiène de vie, cela va prendre des années et des années pour que le corps change de dynamique et qu'il puisse en sortir. Cela peut être des plantes, des compléments, du chaud, du froid, de l'eau. C'est grâce à cela qu’on va permettre aux intestins et aux reins de mieux éliminer, à la peau de mieux transpirer, à la muqueuse intestinale d'être chouchoutée, de ne plus être poreuse, de détoxiner, etc.

Pour conclure, pour réussir à ne plus souffrir de douleur dans la fibromyalgie, il va falloir observer la stratégie qu'on met en place pour s'en sortir, connaître et s'occuper des causes, mettre en place les cinq piliers en même temps, les mettre en place comme il faut avec le bon niveau de détail parce que le diable est dans le détail, et bien sûr, être accompagné parce que le faire tout seul, c'est quasi mission impossible. On a besoin d'être accompagné. On a besoin d'être entouré des gens qui souffrent de la même maladie que vous et qui mettent en place aussi le programme.

Je vais vous mettre un lien juste en dessous de la vidéo où vous allez pouvoir vous inscrire et accéder à tout cela. Inscrivez-vous et je vous dis à très vite dans les prochaines vidéos.

Au revoir !